Avec humour ou ironie parfois, avec une po�sie tir�e volontairement par les cheveux � d�autres moments, Padam livre une peinture acide de notre monde, de l�homme, de ses sentiments pas toujours francs, de ses d�fauts exacerb�s. Un homme qui ne trouve souvent que la vodka comme seul rem�de pour noyer ses soucis. Un homme confront� plus souvent qu�� son tour aux vicissitudes de l�amour qui fait souvent mal mais qui est aussi capable, paradoxalement, de gu�rir de tous les maux. Les portraits s�encha�nent et celui du paum�, berc� par une musique aux forts accents orientaux, est tr�s poignant : � J�suis � c�t� de la plaque, j�y comprends rien. J�passe � c�t� de la vie. Y�a toujours un refrain qui m�colle au train �. Le s�ducteur du club de jazz, faux-champion de la drague, est aussi ridicule qu�attachant. Et les cinq larrons savent bien jouer la com�die pour d�crire la vie et l�univers de leurs nombreux antih�ros.

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